
Stéphane Korb n'avait rien du Rouletabille de clown qui vous arrache un sourire, vous le vole. Il était presque ombrageux, ténébreux. Il voulait voir mon atelier, mes projets, mes ébauches, ce que je faisais de plus personnel. Ce type aimait mieux la peinture, l'image, que le scoop. Un free-lance, français, parisien. Nous avons parlé de Paris. Les années 80, les espoirs, les ennuis. "Des ennuis, y en a dans l'monde entier, oui mais dans l'monde entier y a pas partout Paris, v'là l'ennui" dit une chanson de Francis Lemarque....
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