
Je n'étais plus un "fait divers", pas encore un peintre, un créateur débarassé des influences. Pas d'affluence à mes expos new-yorkaises, mais une presse amicale, bienveillante, attentive, et des amis, beaucoups d'amis. Des journalistes, des photographes, des artistes, des musiciens, des écrivains, des poètes ! Ces expos, ces cocktails étaient l'occasion de rire, de boire, se déguiser, faire la fête. En 82, c'est le vernissage d'une expo que je faisais à La Coupole, dans la 32e Rue. C'était une réplique assez exacte quoique...
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